mardi 4 février 2014

Les élèves québécois moins forts en sciences

Les élèves québécois moins forts en sciences:



"«Il y a eu un grand manque de vision dans l'implantation de cette réforme, même pour les enseignants. Parler de biologie ou de chimie, c'est un défi immense pour un enseignant spécialisé en science physique, par exemple», avance-t-il."





Le programme de sciences physiques vise à familiariser l'élève avec des faits et des phénomènes d'ordre chimique et physique de son environnement.  D'une durée de 150 heures, ce programme comprend trois modules obligatoires. 



À la découverte de la matière et de l'énergie :

  • Propriétés et structure (durée de 50 heures)
  • Phénomènes électriques (durée de 60 heures)
  • Phénomènes ioniques (durée de 40 heures)


https://www.csbe.qc.ca/MyScriptorWeb/scripto.asp?resultat=-340058



Un enseignant spécialisé en science physique considère-t-il un "défi", pire encore "un défi immense", de parler de chimie, au niveau secondaire? Un domaine très apparenté à sa spécialisation, un niveau inférieur par rapport à sa scolarité, finalement un niveau qui tient de la culture générale?



Comment a-t-il pu devenir "spécialisé" sans connaître les propriétés et la structure de la matière, les phénomènes électriques et ioniques?



Ce n'est pas plutôt ici le vrai problème? Les "spécialistes"?



Rien de plus dangereux que l'ignorance active! (Goethe)



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