mardi 5 juin 2012

Université de Montréal - Forum - Édition du Édition du 5 avril 2004 / volume 38, numéro 27 - L’ortograf alternativ: un konpromi optimal

Université de Montréal - Forum - Édition du Édition du 5 avril 2004 / volume 38, numéro 27 - L’ortograf alternativ: un konpromi optimal:


34 graphèmes



La méthode, mise au point au cours de 10 ans de recherche à partir de la thèse de doctorat de Caroline Germain, repose sur la simplification des textes proposés aux élèves des classes ordinaires et sur la réduction du code alphabétique à 34 graphèmes fixes. On ne retient, par exemple, qu’une seule façon d’écrire le son «o», soit en employant la lettre o, et l’on n’écrit que ce qui se prononce. Alors que les chercheurs ont dénombré pas moins de 459 manières d’écrire le mot «auto» – allant de «hautheault» à «oto» –, l’enfant n’apprendra que l’orthographe vocale «oto».

De même, le son «è» sera toujours écrit «ê», que ce soit dans la terminêson des verbes à l’imparfê ou dans le corps d’un mot comme nêge ou élêve. Exit les rêgles d’accord du participe passé des verbes pronominaux, que même les rédacteurs d’expérience ne mêtrisent pas.


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